Cet art est originaire de Chine, l’origami en est sa traduction japonaise, il désigne les techniques du pliage de papier. Il est ainsi devenu une partie intégrante de la culture japonaise. De nombreuses croyances reposent sur cet art, plier mille grues de papier traditionnel serait un moyen d’assurer longue vie à son auteur.
Seulement, depuis sa création, vers le sixième siècle, l’origami japonais a évolué très lentement. Ce n’est que depuis ces 25 dernières années qu’ont naquis de nouvelles méthodes, avec de nouveaux matériaux et de nouvelles idées qui ont transformé le monde de l’origami traditionnel des deux côtés du Pacifique. Cet art s’aventure dans une représentation de plus en plus fidèle de ses modèles ; insectes, horloges à coucou, couteaux suisses…
Les adeptes de cette discipline s’attaque également au pliage de nouvelles matières comme la soie, film transparent ou plus insolite le bubble-gum. De plus certains mathématiciens n’hésitent pas étendre régulièrement leurs limites, en usant de leurs connaissances des chiffres et de l’informatique. Seule deux choses restent encore taboues pour les puristes ; les ciseaux et la colle.
Il existe des dérivés pour cette discipline :
Personnellement, l’intérêt de l’origami réside dans la création de volume plus ou moins complexe à partir d’une ressource abordable pour tous ; le papier (et sûrement un brin de patience).
L’origami est une solution trouvé pour proposer une seconde vie à mes futurs réalisations graphiques. Un procédé fortement envisageable puisqu’il est de ressource équivalente avec le print et correspond au principe d’éco conception.
Cependant, il me faudra expérimenter les compositions graphiques en corrélation avec les différents patrons et y trouver une cohésion.
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